Je ne sais pas ce que je veux.
La première fois qu'on m'a posé la question, j'ai été sidéré. Je ne savais pas pourquoi je ne savais pas ce que je voulais. Une fois perdu dans mon intimité j'ai réussi à me formuler ce que je voulais vraiment. “Je veux un cheval.” J'ai instantanément compris et admis, que ce n'était une bonne idée ni pour le cheval, ni pour moi. Depuis je ne sais pas ce que je veux, et j'en suis tout à fait soulagé.
J'ai trop besoin d'être un cheval. C'est ce que j'ai compris plus tard.